Psychanalyste et psychologue-clinicien (diplômé de l'Université Paris-Diderot, Paris 7), je reçois à mon cabinet, à Troyes, au 2 Passage Hugues de Payns*, adultes, enfants et adolescents.
Je reçois également en supervision d'autres professionnels et j'interviens dans différentes institutions pour de la supervision de groupe.


La plupart des praticiens présentant leur activité en ligne détaillent une liste de situations difficiles, à base d'expressions passées dans le langage courant (de la "phobie scolaire" à la "dépression", en général), à quoi ils viendraient remédier grâce à leur savoir. Je préfère ne préjuger de rien ; d'une part parce que chacun n'est pas forcément en mesure de dire ce dont il souffre, d'autre part parce que je ne propose pas de solution toute faite ou "prête-à-guérir". A défaut d'avoir un sens immédiatement accessible, les symptômes des gens qui viennent me voir ont une fonction souvent essentielle dans leur vie, et ce n'est qu'en repérant ce qui a contribué à leur formation qu'on peut éventuellement les transformer.
Ce travail s'appuie sur les éléments de l'histoire du patient, sur sa parole, et sur la relation qu'il noue avec le psychanalyste ou le psychologue. Ceci vaut pour les adultes aussi bien que pour les enfants ; j'adapte simplement en fonction de chacun la manière de travailler ensemble. Quand je parle de ce qui se passe dans la relation entre le patient et l'analyste, je fais référence à des émotions : colère, tristesse, joie, peur, déception, amour ou haine, entre autres – émotions qui se manifestent aussi bien chez le patient que, par écho ou en réaction, dans l'esprit du psychanalyste ou du psychologue. Ce sont elles qui nous guident, au-delà de la simple analyse du discours du patient, vers une meilleure appréhension de la façon dont il s'organise psychiquement pour vivre ce qu'il vit.
On me demande souvent ce qu'on peut attendre d'un tel travail. "Qu'est-ce que ça m'apporte au quotidien ? Pourquoi j'irais voir un psychologue ou un psychanalyste ?" Freud avait une réponse simple : il estimait que la finalité de ce travail était de permettre à chacun de mieux aimer et de mieux travailler. Pourquoi pas ? Mais en ménageant peut-être davantage de possibilités (pourquoi forcément aimer ou travailler ?), je crois surtout qu'une analyse ou une psychothérapie doit permettre à celui ou celle qui s'y engage de se sentir plus libre (Freud dirait : "de suivre sa nature"), de s'approcher au plus près de ce qui le constitue intimement, quoi qu'il lui arrive, et quel que soit son âge.

Je précise, puisque la question de l'âge intervient ici, que les thérapies d'enfant posent des questions particulières. D'abord parce que les enfants n'en décident pas eux-mêmes, ensuite parce qu'elles constituent pour les parents une charge parfois pénible (en temps d'accompagnement, en argent, en frustration, etc.). Ces contraintes importent peu aux enfants : lorsqu'ils ont accès à quelqu'un qui les aide, ils s'engagent pleinement dans le travail. Cela entraîne un investissement affectif qu'il est toujours dommageable de rompre brutalement. En clair, l'arrêt d'une prise en charge se prépare. Avant de proposer l'aide d'un clinicien à votre enfant, assurez-vous donc de votre propre capacité à l'accompagner dans cette démarche – qui est parfois rapide, mais parfois plus longue, sans qu'on puisse le déterminer a priori.

J'ajoute que, comme la quasi-totalité de mes collègues dans l'Aube, je ne participe pas au système de conventionnement récemment souhaité par les Pouvoirs publics et qui permet, sur prescription médicale, le remboursement d'un nombre restreint de séances par la Sécurité Sociale. Son intention est louable mais, tel qu'il a été pensé, il ne rend service ni aux patients ni aux professionnels. En revanche, le coût des séances, en ce qui me concerne, peut varier en fonction des patients (en fonction de paramètres examinés ensemble).
Je précise également, parce que c'est une autre demande récurrente, que c'est par leur formation que se distinguent d'abord le psychanalyste et le psychologue : le premier s'appuie sur l'analyse qu'il a lui-même effectuée avant de devenir analyste ; le second est titulaire d'une licence et d'un master de psychologie clinique, acquis à l'université. On peut être l'un sans l'autre, ou l'autre sans l'un. J'ai choisi de cumuler les deux parcours.

Je suis joignable au 06 16 45 03 09, ou bien par mail (sebastien_smirou@yahoo.fr). Pour davantage d'informations (parcours, publications), je vous invite à consulter la page Wikipédia à mon nom.

Les patients dont le travail s'effectue momentanément par téléphone ou Skype disposent ci-dessous d'un module de paiement sécurisé pour régler leurs séances par Carte Bleue ou PayPal.

Honoraires à régler

Sébastien Smirou





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* Le Passage Hugues de Payns se situe juste derrière la mairie de Troyes ; le parking Hôtel de Ville est à proximité immédiate. Mon numéro ADELI (attestant d'un enregistrement auprès de l'Agence Régionale de Santé Grand-Est) est le 109303370.
** Le dessin ci-dessus est l'œuvre de François Matton.